Éléments de la Taxonomie Végétale : Destinés aux étudiants en Sciences de la Nature et de la Vie
A
la genèse, la taxonomie végétale était intuitive pour répondre aux besoins
primaires des peuples. Elle devient au fil du temps plus descriptive et
scientifique. D’Aristote à Linné, les concepts de la botanique moderne se sont
précisés en passant par de notions d’âmes à des descriptives, de la
nomenclature binomiale à des concepts de la famille, du genre et de l’espèce,
la botanique moderne est mise en forme par Linné. La Renaissance, était une
période faste pour l’observation de la nature (botanique plus scientifique ;
observation naturaliste).
Cette période a permis le développement de la botanique basée sur l’organographie des plantes et non plus seulement sur leurs propriétés. Le 17ième siècle confirma cette direction et peut être considéré comme le siècle des bases de la botanique moderne. Depuis 18ieme siècle, les méthodes de diagnostic des végétaux se sont améliorées grâce à l’évolution des techniques optiques et biochimiques. Quand la théorie sur l’évolution apparût, elle se basera alors sur la réunion vers les liens de parenté entre les taxons et est apprécié par l’importance de la ressemblance globale entre ces individus pris deux à deux. Cette cladistique numérique a évolué et a fait aujourd’hui référence jusqu’à la phylogénie moléculaire. Cependant on doit à la cladistique d’avoir permis à la classification de devenir une science : celle de la systématique. Cette dernière façon de classer le monde végétal, fait aujourd’hui référence et profite des progrès scientifiques dans ce domaine de la biologie moléculaire. Socle de la systématique et de la taxonomie végétale, les herbiers constituent une collection de référence de spécimens originaux à la base de l’identification et décrire des espèces suivant les règles, normes et principes du code de la nomenclature taxonomique des plantes.
Cette période a permis le développement de la botanique basée sur l’organographie des plantes et non plus seulement sur leurs propriétés. Le 17ième siècle confirma cette direction et peut être considéré comme le siècle des bases de la botanique moderne. Depuis 18ieme siècle, les méthodes de diagnostic des végétaux se sont améliorées grâce à l’évolution des techniques optiques et biochimiques. Quand la théorie sur l’évolution apparût, elle se basera alors sur la réunion vers les liens de parenté entre les taxons et est apprécié par l’importance de la ressemblance globale entre ces individus pris deux à deux. Cette cladistique numérique a évolué et a fait aujourd’hui référence jusqu’à la phylogénie moléculaire. Cependant on doit à la cladistique d’avoir permis à la classification de devenir une science : celle de la systématique. Cette dernière façon de classer le monde végétal, fait aujourd’hui référence et profite des progrès scientifiques dans ce domaine de la biologie moléculaire. Socle de la systématique et de la taxonomie végétale, les herbiers constituent une collection de référence de spécimens originaux à la base de l’identification et décrire des espèces suivant les règles, normes et principes du code de la nomenclature taxonomique des plantes.
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